Quand je t’aperçois
Je ne te veux pas écho de mon esprit Comme une épée plantée, Dans la profondeur de la terre. Je sens le déversement de tes larmes, Sur mon épaule, Et tes doigts caressant mes cheveux, Leur donnant vie. Je te sens Enfoui dans mon esprit profondément, Dans tes vastes étendues, Et pourtant tu es dans mon sang. Et tu es un monument…dont je ne vois pas les limites, Je n’évoque rien de mes rêves, Que tes prodiges et ton existence. Tu n’as pas transcendé seulement mon existence, Je sens ton mouvement, Au fond de mon âme, Et - devant mon miroir - , Je te vois sus mes paupières. Quand je t’aperçois, je m’enchante, Pas comme cela leur arrive, Lors de l’accolade et de l’enlacement, Et non, Comme un moment de bonheur et de victoire. Moi, quand, Je scrute ton visage lumineux, Et que me doights touchent, Ton cou gracieux. Je ne sais pas, si j’habite l’univers, Ou si je suis avant le commencement, Dans le rêve Tu t’es trouvé dans mes veines, Avant mon ...